Je soupire, car je suis en sueur. Je n’ai pas fini de dépecer le corps de la femme blonde pour le transformer en steaks saignants. Les commandes affluent à ma taverne. Tout le monde veut à manger et je n’ai presque plus grand viande humaine en réserve. Je continue ma tâche malgré mon inconfort. Je coupe des morceaux de ses jambes et de ses bras. Bientôt, tout ce qu’il reste de la femme est des morceaux de sa chair rosée et de ses os transformés en steaks. Je me mets à cuisiner la viande sans attendre davantage. Après tout, les clients mécontents ne sont pas bons pour les affaires. J’espère que mon mari, Percival, va me ramener plus de cadavres bientôt.